Les mots conduisent aux maux,

On ne se débarrasse pas….

De vagues balbutiements,

De brèves notes,

Des odes…..

Assise sur un beau tronc vernis de mousse,

J’écoute

Qu’y a-t-il derrière ces barbelés ?

Et à l’intérieur

Beau Noyer

Il a fallu couper tes branches